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David Vincent : 8ème partie
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STARRE OUARZE - ZE FANTOME MEUNASSE
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(c) StratoProductions (R)

La magnifique et idyllique planète Thursday tournait nonchalemment en orbite autour de son soleil à double foyer depuis environ un milliard d'années sans se poser trop de questions existancielles. Il est vrai qu'une planète qui se pose des questions existencielles, on n'en a jamais vu le commencement du début de la queue d'une depuis des lustres, aurait dit David Vincent au seigneur du magma qui le retenait prisonnier aux fins fonds des entrailles d'un astéroïde de classe 4 (ce qui sous-entend bien sür que cet astéroïde avait déjà redoublé deux fois, vu son äge, mais passons, tout le monde a le droit de faire des erreurs...), ceci sans acrimonie aucune, étant donné que notre célèbre Davidounet n'est pas ici l'objet de ce blockbuster science-fictionnesque, ce qui d'ailleurs le rend plutöt susceptible, le David : Et vas-y donc que j'ai les orbites oculaires qui se remettent à tournebouler dans tous les sens !!! Ah, ce Vincent, je crois bien qu'il restera traumatisé à vie par sa rencontre avec le Gonurf ex-Zorglub. A ce propos, vous connaissez l'histoire du canard qui fait de l'auto-stop ? Non ??? Okay, je vous la narre, sans faire de politique, évidemment : C'est donc l'histoire d'un canard qui fait de l'auto-stop ; il s'approche de la voiture de David Vincent, et Ziiiiioooouuuuufffff, le David....

Mais revenons à nos moutons intersidéraux. La planète Thursday ne se posait pas de question. A peine un petit "Allez, encore un tour !!!" à chaque fin de révolution orbitale, et encore pas tout le temps. Le comédon de cette histoire balbutiante, euh non pas le comédon, imbécile que je suis !, le point noir de cette histoire balbutiante était l'indice élevé de ce soleil à double foyer sur le bizarroïdomètre du sénateur Palpatine. Comprenez bien le cheminement de l'esprit du sénateur : Un soleil à double foyer, on le voit bien ni de loin ni de près... Donc, cet étrange individu, que l'on ne saurait comparer à Raymond Barre étant donné l'anachronisme que cela induirait, nonobstant le fait que ce dernier soit député plus enrobé que svelte plutôt (hein, quoi, qui a dit Mickey ??) que sénateur, ourdissait en effet (car il ne se séparait jamais de sa sombre et inquétante robe de bure noire... C'est vrai, quoi ! Un sénateur sans effet, ce n'est pas très crédible) un complot machiavélique au sein de l'Assemblée constituante de la République Fédérée afin de prendre le contrôle de Thursday et d'avilir son impératrice Non-non, présidente du sénat et garante de la Liberté Universelle. Ainsi, Palpatine voulait par tous les moyens, même les plus vils, destituer l'impératrice Non-non afin de diminuer l'emprise bienfaisante de la Liberté Universelle dans la galaxie, jusqu'à imposer sa loi noire et immonde dans l'univers tout entier. Sa démarche quoique critiquable, n'était toutefois pas empreinte d'une certaine logique, puisqu'à force de croquer des petits LU, et bien il n'y en a plus !!! Cet axiome inspirant sa volonté de puissance éternelle lui avait fait tant de mal qu'il décida d'envoyer des troupes conquérantes et surpuissantes vers Thursday afin d'annihiler définitivement toute trace de la République Fédérée (fédérée dans l'eau, évidemment...).

Le sénateur Palpatine organisa donc un conseil de guerre ultra-secret auquel il invita lechef des Dark Lords of the Sith, plus connus sous le nom de Jedis Noirs. Celui-ci, bien que n'ayant aucun rapport avec le récent effondrement de la bourse de Thursday, était le mentor d'une armada de guerriers ayant vendu leur âme au côté obscur de la Force, blasphème qui selon Yodah, son opposé dans le côté éclairé, lui donnait mauvaise haleine. Nous comprenons mieux désormais l'origine du mot Jedi Noir... Bien que relativement court, ce conseil de guerre fut donc le moment choisi par le sénateur Palpatine pour révéler au grand jour ses ambitions démoniaques, et rallier à lui les plus féroces guerriers de l'univers connu. Son discours fut rempli d'une ferveur non feinte et d'une grandiloquence exacerbée, montrant à qui ne voulait pas encore y croire la fermeté du leader maléfique. Cette fermeté se lisait d'ailleurs sur son visage buriné et acéré, comme coupé à la serpe, et d'aucuns disaient tout bas dans les couloirs du sénat que tout son être était dur comme du bois verni. Cette rumeur n'était effectivement pas infondée, puisque la haine que vouait Palpatine contre la République datait de son entrée au sénat. Ainsi, alors qu'il venait d'être élu sénateur, ses collègues avaient subrepticement installé sur son siège un microphallus à érection macroscopique qui s'était déclenché quand il s'assit pour la première fois à la place qu'il avait de longues années convoitée, l'empalant sans égard pour le séant qu'il avait alors fort délicat... Cette intronisation ridiculement puérile, digne des plus grands bizutages de l'école de médecine de T'as tout in, euh pardon Tatooine, fut pour le tout jeune sénateur la source de sa haine sans fin, mais aussi l'origine de son nom, puisque tous les sénateurs instigateurs de cette mauvaise blague crièrent en choeur : "Bonjour à toi, le pal patine, non ?".

Bref, le conseil scella la fin de la République et l'ordre d'attaquer Thursday fut donné le 46 mardembre 96789 à 34h14 exactement, ce qui n'est pas anormal pour une planète dont la période de révolution sur elle-même est de 54h environ.

Les légions de Jedis Noirs déferlèrent sur la tranquille planète comme des fourmis mâles en rut sur un micro-onde qui a fait l'erreur d'imiter leur cri d'amour. Toutefois, notre sénateur belliqueux (Merci du compliment...) avait négligé un fait important : Thursday était le siège de l'ordre des Chevaliers Jedis éclairés, les Jedis Blancs - ils n'avaient donc pas mauvaise haleine, eux. Ceux-ci, détectant peu avant l'attaque de fortes distorsions au sein de la Force (Olà ça tangue la-dedans, je crois que je vais être malaaaaaaaaa.... Beueueueueuerrrrkkkk !!!! Trop tard !!!!), se doutèrent qu'un grand danger les menaçaient et dépèchèrent des émissaires en quête de tous les jeunes hommes et de toutes les jeunes femmes pour lesquels la Force était très forte dans leur famille (Tiens, j'ai déjà entendu ça quelque part !!!). C'est ainsi qu'ils ramenèrent le jeune Anakin (surnommé par ses petits camarades de jeux yanapadeu, les saligots... s'ils savaient seulement ce qu'il allait devenir, ils l'auraient moins ramenée ! Mais la jeunesse est parfois cruelle, argh...) Skywalker en leur sein croyant qu'il serait l'arme fatale pour l'agresseur. Sur ce, Mel Gibson et Danny Glover accourent de leur démarche chaloupée, oh non, chaloupé de film, bon sang de bois dont on fait les héros !!!

Mais déjà la vague déferlante et beuglante des Jedis Noirs envahit la planète Thursday : Beuarrrhhh, Blammm, Groupir, restez groupir !!! Raaahhhh Lovely et tout le tintouin. Les sabres lasers à doubles lames sifflent dans l'atmosphère tremblottante et les gerbes de sang, les explosions thermonucléaires à flux bosoniques éblouissants fusent de partout, et là, c'est la chienlit, le bordel bref une déculottée s'annoncerait-elle pour les Jedis éclairés, pris de surprise par la promptitude des atterrisages des vaisseaux de Sith ? En effet, ils sont encore dans leurs temples en train de fourbir leur ridicule sabre laser monolame alors que leurs adversaires sont munis de bilames. N'avaient-ils pas vu la publicité pourtant diffusée sur tous les canaux intergalactiques par Wilkinson : "Avec les sabres lasers doubles, la première lame découpe la tête et la deuxième empêche la repousse, ce qui vous donne un avantage certains lors des affrontements contre les bio-mutants à régénération rapide !!! Ne doutez plus ! Optez pour le désormais indispensable bifaisceau laser Wilkinson !!!............... Et n'oubliez pas la gamme de rayons à affuter jetables, pour plus de performances au service de votre ordre !!". Il est toutefois bien connu que les Jedis éclairés faisaient plus confiance à leur esprit qu'aux progrès de la technique. Maître Yodah ne disait-il pas encore il y a peu "Deux faisceaux ??? Et pourquoi pas trois ??? La Force maîtriser tu dois, et ainsi la confiance en toi tu garderas !", et personne n'aurait osé le contredire : Il n'est pas manchot le nabot (petit surnom amical donné au plus célèbre d'entre eux par les Jedis Blancs, qui sous couvert d'austérité n'en demeuraient pas moins de francs humoristes) !!!

Qu'allait-il alors devenir de tous les protagonistes de cette passionnante épopée ???? La République allait-elle trouver dans le jeune Yanapadeu Skywalker un sauveur inespéré ??? Allait-il faire la découverte de l'Amour dans les bras voluptueux de l'Impératrice Non-non, qui entre nous soit dit ne le disait pas toujours ???

Vous le saurez en allant voir le plus grand film de Science-Fiction de tous les taons, euh les temps,

STAR OUARZE EPISODE 1 : ZE FANTOME MEUNASSE...
 

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