LA MAIN
 
“La toute première expérience sensoriel du singe serai justement, celle des poils. Immédiatement après sa naissance, la mère attire le petit sur sa poitrine, ces petits doigts  saisissent et tienne sa fourrure, il cherche le bout du sein jusqu'à l’avoir  trouver, sans que sa mère l’aide. 3 pendant le premier moi, il ne vit que de lait et sa mère le porte partout avec elle
Si elle est assise le petit se tient serré contre elle ses pieds agrippés aux poils de son ventre. Il a les mains enfoncée dans la fourrure de sa poitrine quand elle se promène  le petit reste accroché à elle de la même manière enchevêtré sous elle en quelques sorte. D’habitude, il se tiens lui même, sans elle, mais quelquefois la mère l’entoure d’un de ces bras pendant qu’elle sautille sur trois pattes. Assise elle tient parfois l’enfant dans ces deux bras. Le petit manifeste un grand intérêt pour les poils. Il passe les doigt dans la fourrure de sa mère, au bout d’une semaine il ce peut qu’il se gratte déjà lui même. J’ ai observé un petit singe âgée d’une semaine, fouillant la fourrure de son père, assis à coté de la mère avec de vagues geste de la main. Parfois la mère se montre irritée par la manière dont le petit tient sa fourrure serrée, et elle retire mains et pieds. »
 
 
 
“Chez l’homme, la main qui ne lâche pas devient le véritable symbole de puissance. Elias Canetti
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Sur la patience des mains
“Notre sentiment voit quelque chose d’archaïque dans toutes les activités de la main. Ce n’est pas seulement la prise d’intention hostile qui nous laisse entendre brusquerie et cruauté.“
P226, Masse et puissance
 
 
 
“On est pas forcement dépositaire du geste ou de la parole de l’autre”