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Agnès Favre


Agnès Favre

"L'envol de Sarah": Ma fille : Sa vie, son suicide.

Agnès Favre, née en 1957, a trouvé dans l'écriture un refuge à ses doutes.
Elle esquisse un portrait élégant et touchant de sa fille.

Elle s'adresse aux parents inquiets et interpelle une société où nombre de
jeunes femmes semblent en crise identitaire.

En France, aujourd' hui, une adolescente sur huit fait une tentative de suicide.
Chaque jour en moyenne, deux jeunes de 15 à 24 ans réussissent à mettre fin à leur vie.

Broché: 217 pages
Editeur : Max Milo (27 septembre 2006)
Collection : Témoignage
Langue : Français
ISBN-10: 2353410030
ISBN-13: 978-2353410033




Jean Cayrol


Jean Cayrol

"Je vivrai l'amour des autres", "Midi Minuit", "Exposés au soleil", "Je l'entend encore", "L'homme dans le rétroviseur", "Les chataignes"...

Jean Cayrol est Né en 1911 (Bordeaux, Gironde), encore en vie.
Sa première oeuvre a été publiée en 1947. Il avait 36 ans.

Il a bénéficié des sources de revenus suivants : Bibliothécaire, Cinéaste, Conseiller littéraire aux Editions du Seuil.

Jean Cayrol a écrit notamment : Les Poèmes de la nuit et du brouillard (1947), Je Vivrai l'amour des autres (1947-1950), Poésie-Journal (1969-1980).

Il a été membre de l'Académie Goncourt (1973-).
Il a reçu, pour l'ensemble de son oeuvre, le prix Renaudot (1947).




Paul auster


Paul Auster

"La trylogie new-yorkaise : 1° Citée de verre, 2° Revenants, 3° La chambre dérobée", "Le diable par la queue", "Léviathan"...

Avant de connaître la consécration, paul auster a connu des années de "galère", comme tout écrivain qui se refuse à exercer un autre métier.

De ses mésaventures, de ses tentatives, de ses véritables paniques devant les soucis matériels, il fait ici la chronique allègre. Elle commence aux questions budgétaires qui minent le couples de ses parents, et s'achève à la parution de son premier livre.

Les admirateurs de l'écrivain apprendront comment il a traduit en direct un discours de Jean Genet, inventé un jeu de cartes qui aurait assuré sa fortune sans l'arrivée de l'informatique, écrit un polar noir dans l'espérance d'un gros tirage...

Mais, au-delà de l'anecdote, cette reflexion sincère sur l'argent et la création éclair un jour nouveau, de même que les souvenirs réunis sous le titre "Pourquoi écrire?", bien des pages d'une oeuvre romanesque déjà classique.

Paul Auster donne une des autobiographie les plus originales, les plus audacieuses jamais écrite par un écrivain. Qui a osé raconter sa vie sous l'angle de l'argent ?



"cité de verre",un auteur de série noir, Quinn, est éveillé au milieu de la nuit par un coup de téléphone qui ne lui était pas destiné: on demande un détective, un certain paul auster... Quinn, qui mène une vie errante, lestée d'un passé problématique, accepte le jeu consistant à être ce Paul Auster. Et le voilà lancé dans une aventure plus extravagante que toutes celles qu'il aurait pu imaginer. A la faveur de cette première faille de l'identité, le roman policier bifurque, et ce sont à la fois Kafka et Hitchcock que l'écrivain de "l'invention de la solitude" convoque dans les détours de sa cité de verre... (Une remarquable "machine" littéraire a dit Claude-Michel Clunny dans le figaro"

"revenants",ce deuxième volet de la trilogie n-y met en scène, dans le décor qui était celui de "cité de verre", trois protagonistes nommés Noir, Blanc et Bleu. Deux d'entre eux sont des détectives privés. mais, tout en nous entrainant dans un suspense qui ne le cède en rien à celui des meilleurs thrillers, le romancier nous donne aussi à sentir la précarité de l'identité, et fait jouer devant nous dans un crescendo tragique, les plus pervers effets du miroir du destin. Roman policier, roman métaphysique: paul auster joue des deux registres avec une maestria qui justifie sa place- au tout premier rang- dans la jeune littérature americaine.

"la chambre dérobée" (en disparaissant de nex york, fanshawe laisse derrière une femme, sophie, un fils, ben, et une série de manuscrits dont il a confié le destin à un ami, le narrateur du livre. Voilà en place les pièces d'un échiquier où règne en maître l'auteur de la trilogie "new-yorkaise", romancier du mystère, de l'identité et de la dépossession. Car le narrateur ne va pas seulement conduire les manuscrits à l'édition et au succès: il va aussi épouser Sophie et adopter Ben. une nouvelle fois paul auster nous emmène dans le labyrinthe faussement transparent de la "cité de verre", royaume de l'ambiguïté et d'une quête du moi toujours précaire.



Anna gavalda


Anna Gavalda

Qui est... Anna Gavalda ?
C'est une question qui ne se pose plus !


"Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part", "Je l'aimais", "L'échappée belle", "Ceux qui savent comprendront", "35 kilos d'espoir", "Ensemble, c'est tout"...

Une histoire qui a commencé avec une belle lettre d'amour, en 1992. C'est l'histoire d'Anna Gavalda, lauréate cette année-là de La plus belle lettre d'amour, pour France Inter.

Puis on la retrouve en 1998. Une nouvelle de son cru, Aristote, remporte le concours «Du sang dans l'encrier» de la Bibliothèque municipale de Melun.
Cette même année, elle remporte également deux autres concours littéraires, le Prix Icare d’Issy-les Moulineaux, et le Prix de la Ville de Saint-Quentin.

En 1999, elle participe au Festival de la Nouvelle de Saint-Quentin.
Et en 2000 elle reçoit le Grand Prix RTL-Lire pour "Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part", son premier recueil de nouvelles qui retient l'attention d'un éditeur, pendant que d'autres n'en veulent pas. Il est traduit en 21 langues et vendu à 200 000 exemplaires.

Trois ans plus tard, elle revient sur le devant de la scène littéraire avec son premier roman "Je l'aimais". Anna ne s'arrête plus et elle a plus que raison. Elle a un sens aigu de l'observation, une description des émotions toujours juste, de l'humour et un peu de cruauté, un style léger et direct, voilà les ingrédients qui font le succès d'Anna Gavalda. Elle nous fait le plaisir d'un retour en fanfare avec "Ensemble, c'est tout". Une histoire magnifique, qui se laisse lire, qui se laisse aimer sans concession.

Anna Gavalda est née en banlieu parisienne, à Boulogne-Billancourt, le 9 décembre 1970.
Ses études la mèneront jusqu'à la Sorbonne où elle décrochera une maîtrise de lettres.

Cet auteur qui a déjà été fille au pair aux États-Unis et rédactrice à la pige, vit dans la banlieue sud de Paris où elle était professeur de françaic puis documentaliste à mi-temps dans un collège catholique.

Aujourd'hui, Anna Gavalda a quitté l'éducation nationale pour se consacrer à l'écriture et à ses deux enfants.




Guy Des Cars


Guy Des Cars

"La brute","La révoltée", "L'entremetteuse", "Le grand monde", "La boule de cristal - Le mage", "La vipère", "Une certaine dame","Le chateau de la juive", "La tricheuse", "Les filles de joies", "La Dame du cirque", "L'Impure"...

Guy Des Cars De son vrai nom De Perusse des Cars est Né en 1911 à Paris. Il est mort le 21 décembre 1993 à Paris à l'âge de 82 ans.

Il débute par le journalisme. Lieutenant d'infanterie, il reçoit la Croix de Guerre pour sa conduite au front et, démobilisé il écrit son premier roman, "l'officier sans nom".
Il est publié en 1942 et reçoit d'emblée un accueil triomphal. Il avait 31 ans.

C'est le début d'une prodigieuse carrière de romancier, marquée par le succès universel d'une série d'ouvrages qui tous présentent l'étude profondément humaine d'un cas psychologique ou pathologique.

Il a été membre de l'Académie du Maine.




Roland Bacri


Roland Bacri

"Trésor des racines pataouètes (1983)", "Le Roro, Dictionnaire pataouète de langue pied-noir (1969)", "Les métamorphoses de la rose: un tiens vaut mieux que deux septennats", "Les Rois d'Alger (1988)", "J'ai descendu dans mon Jourdain, la Bible racontée par le petit poète (1999)", "Le journal d'un râleur (1996)", "L'amer à boire (1995)", "Giscaricatures / Roland Bacri et Vazquez de Sola (1975)", "Hexagoneries (1976)", "le petit lettré illustré (1971)", "La légende des siestes (1973)", "L'obsédé textuel (1974)", "Et alors ! Et oila ! (1968)", "Les pensées (1979)", "Roland Bacri / par Roland Bacri (1975)", "Sacré nom d'une Bible! Poèmes et bibelots par Roland Bacri et Pino Zac", "Le beau temps perdu, Bab, el Oued retrouvé (1978)", "Le guide de Colombey (1961)"...

Humoriste-écrivain, Humoriste pied-noir, Roland Bacri est né à Bab-el-Oued (le quartier populaire européen d’Alger à l'époque coloniale) le 1er avril 1926 (à 02h00 ut, Alger, Algérie). Il est chroniqueur à l’hebdomadaire satirique français Le Canard enchaîné depuis 1956.

Quand et comment êtes-vous arrivé en métropole ?
« J'étais inspecteur de banque. Je m'étais fixé un but : "Il faut qu'à 30 ans tu sois au Canard". Alors le jour de mes 30 ans, j'ai plié bagages. J'ai pris le bateau jusqu'à Marseille, en 2 CV je suis monté à Paris, j'ai demandé à un passant où est la rue Vivienne, et ils m'ont engagé. »
Roland Bacri "le petit poète" des vers amusants allant de traviole, des rimes faisant mille cabrioles pour enfants marioles de neuf à onze ans.

Pendant la guerre d'Algérie, alors qu'il était chroniqueur pour le Canard Enchaîné, il signait "Roro de Bab-el-Oued". Puis, il a été le petit poète du Canard Enchaîné jusqu"à la retraite. Aujourd'hui, Roland Bacri écrit toujours.

Trésor des racines pataouètes (Belin 1983)

Un florilège de la langue des Français d’Algérie Le pataouète est le français régional populaire d’Algérie. Ce nom (et adjectif) serait une déformation de Bab-el-Oued (le quartier populaire européen d’Alger à l’époque coloniale)
« C'est la langue des pieds-noirs. Elle est née au soleil d'un mélange de 3, 4 peuples. Le pataouète est né à Bab-el-Oued. C'est pas vraiment de l'exagération, c'est plutôt de l'absurde : 'Si ta mère elle voit que tu te noies, elle te tue !". C'est des expressions qui viennent naturellement : "Si le boeuf sur le toit au lieu d'être sur le toit il était sur la terrasse, purée, le changement qu'y aurait !". La prononciation, c'est simple : On ne dit pas "le lait est frais, c'est vrai ?" mais "A de vré le lé il est fré ?". On ne prononce pas des consonnes comme le "v". Ça donne "Et 'oila" ou "Je s'rais passé sous cette 'oiture, tu t'rencontres ?". » (L'auteur)

Roland Bacri aime jouer avec les mots, chez lui c'est tellement naturel. C'est comme un sixième sens qui aurait devancé les cinq premiers.

Quelques-unes de ses citations :
"Combattre pour la paix, il paraît que c'est de bonne guerre.", "Ces lois sont d'une logique ! Pour expulser les gens, on leur fait une mise en demeure.", "Ici gît suis. Ici gît reste.", "La vie, on est toujours à pester contre elle et quand elle nous quitte, on râle.", "Ne dites jamais de quelque chose : c'est acquis. Dites : c'est à moi !", "Le tabac, c'est mauvais pour l'état général mais, pour l'Etat en particulier, excellent pour le coffre.", " Le bonheur s'alimente volontiers de malentendus.", "Pour Juliette, tous les chemins mènent à Roméo.", "Je suis objecteur de science-con.", "Quand je vois tous ces couples fidèles, je me dis que tout le monde peut se tromper.", "Avant de me dire que né dans la poussière je redeviendrais poussière, ils devraient d'abord balayer devant leur porte!", "Idée de génie : mettre la pomme de Newton dans la brouette de Pascal.", "Tout homme a dans son coeur un cochon qui sommeille. Qui vivra verrrat. "

Il a également enregistré un album dont voici quelques titres : L'obsédé Textuel : Quand je prends une femme, J'aurais aimé, Si je n'écoutais que mon amour, L'amour ça commence, Ah si j'avais le temps, Il faut de tout, Le Bouquet, L'invitation au voyage, Je pense donc je suis les femmes, Dictionnaire de rimes pour vers libres, Avec Daisy, L'obsédé Textuel.




Jean Giono


Jean Giono

Jean Giono

"Le bonheur fou", "Le hussard sur le toit", "Que ma joie demeure", "Solitude de la pitié", "Un roi sans divertissement", "La chasse au bonheur"...

Jean Giono est Né le 30 mars 1895 à Manosque, Alpes de Haute Provence.
Son père, Jean-Antoine Giono, est un cordonnier, libertaire, autodidacte.
Sa mère, Pauline Pourcin, dirige fermement son atelier de repassage. C'est elle qui tient les cordons de la bourse.
En 1911, Jean Giono quitte le collège, en seconde, pour travailler. Il devient employé de banque à Manosque.

Fin 1914, Jean Giono est mobilisé. En 1916, il participe aux combats, batailles de Verdun, du Chemin des Dames, du Mont Kemmel où il est légèrement gazé aux yeux.
Il découvre l'horreur de la guerre, les massacres, un choc qui le marque pour le reste de sa vie.
Il évoquera cette douloureuse expérience dans "Le Grand troupeau", ainsi que dans ses écrits pacifistes des années 30.

Au retour de la guerre, en 1919, Jean Giono retrouve Manosque et son emploi à la banque.
En avril 1920, il perd son père. Et en juin de la même année il épouse élise Maurin.
La banque sera son cadre de travail jusqu'à la fin de 1929, année où Grasset accepte de publier "Colline", le succès est immédiat tant chez le public que chez la critique. Il avait 34 ans.
Gide salue ce livre avec enthousiasme et va rendre visite à l'auteur à Manosque.

La même année, Grasset publie "Un de Baumugnes", qui connaît également le succès.
Giono se décide alors à vivre de sa plume et abandonne son emploi à la banque.
Il fait l'acquisition de la maison du Paraïs, petite maison qu'il agrandira au cours des années et qu'il habitera jusqu'à sa mort.
Parallèlement à ses écrits, Giono s'intéresse au cinéma et réalise quelques films

Dans la nuit du 8 au 9 0ctobre 1970, Giono meurt d'une crise cardiaque à Manosque, Alpes maritimes, à l'âge de 75 ans.

Jean Giono a écrit notamment : Colline (1929), Un De Baumugnes (1929), Regain (1930), Le Grand Troupeau (1931), Jean le bleu (1932), Le Chant du monde (1934), Que Ma Joie demeure (1935), Batailles dans la montagne (1937), L'Eau vive (1943), Un Roi Sans Divertissement (1947), Les Âmes fortes (1950), Le Hussard sur le toit (1951), Angelo (1953), Le Bonheur fou (1954-1957), Deux Cavaliers de l'orage (1965).

Il a été membre des groupes suivants : Pacifisme (1930-), Académie Goncourt (1954-).

Tout sur jean Giono : http://pages.infinit.net/poibru/giono/index.htm




Dernière mise à jour : Dimanche 10 Octobre 2010


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