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Dauphins


         

Le temps, l'amour pour des rêves.


Passion voyage, amour mirage,
L'illusion d'un instant,
Le bonheur un moment.
Puis, la fin des sentiments.
Le feu s'éteint, la braise résiste,
La douleur, violente, persiste.
L'oubli ne pourrait pas l'éteindre,
La plaie est trop profonde.

Le temps s'est arrêté,
L'amour s'est évadé,
Son rêve s'est achevé,
Cette histoire est terminée.

Le désespoir envahissant,
La déraison naissante,
Le coeur plus déchirant,
La vie fuyant sur un autre chemin.
Le monde n'a plus de sens,
La vie n'a plus de goût,
L'amour n'a plus de flamme,
Le bonheur n'a plus de couleur.

Le temps s'est arrêté,
L'amour s'est évadé,
Son rêve s'est achevé,
Cette histoire est terminée.

Si la vie lui avait dit :
" Ton coeur deviendra gris !
Aussi gris qu'un ciel de pluie "
Sur ses lèvres serait né un sourire.
De rêves en désillusions
Le pas est minuscule.
D'espoirs en déraisons,
La peine est infinie.

Le temps s'est arrêté,
L'amour s'est évadé,
Son rêve s'est achevé,
Cette histoire est terminée.

Mais, dans son coeur déchiré,
La survie est bien présente.
Le combat s'annonce brûlant,
Et la douleur tellement violente.
Dans un jour, un mois, un an,
Sa vie tremblera de joie,
D'un amour profond, intense.
D'un bonheur unique, mais réel.

Le temps se sera animé,
L'amour se sera présenté,
Son rêve se sera exaucé,
Une histoire vraie sera née.


         

Du passé à l'avenir.


Sur les chemins de la haine,
En silence ton coeur saigne.
Pour avoir tellement aimé,
Sans jamais être lui-même adoré.
Pour avoir si souvent donné,
Sans avoir reçu, ni demandé.
Pour avoir toujours tout abandonné,
Sans que personne ne lui ai jamais cédé.

Dans tes moments de solitude,
Tu ne cherches plus de repères, tu éludes.
Le ciel peut bien te montrer la clarté,
Mais à l'horizon, le brouillard est trop épais.
Même si chaque rayon d'un soleil serein
Eclairait ton étroit et difficile chemin,
Tu ne pourrais voir plus loin que ton coeur,
Qui en son sein tremble d'une pénible douleur.
Quand cesseras-tu ainsi de pleurer,
Les images que te montre le passé ?

Quand pourras-tu simplement voir en paix,
Les instants où tu étais si gai ?
Cesses d'écouter tous les mots d'avant,
Ceux qui brouillent ton esprit maintenant.
Ta vie t'appartient encore un bon moment,
Revit vraiment, sans plus faire semblant.

Quand le brouillard se sera apaisé,
Tu cesseras de pleurer en secret.
Ton sourire pourra de nouveau éclairer
Ton tendre visage si beau à regarder.
Le bonheur te fera le grand écart,
Pour donner libre court à tes espoirs.
Tout dans ta vie te sera enfin permis,
Et ta joie nouvelle ne sera qu'infinie.


Le coeur commande.


Quand un être responsable dont certaines qualités se nomment notamment détermination, lutte, courage, réflexion...
en arrive au point extrême de ne plus pouvoir prendre une décision face à son coeur et qu'il en menace lui-même son propre
destin, cet être là, n'est plus lui, il ne s'appartient plus.
Il se sent perdu dans un monde devenu trop grand pour lui et il prend soudain conscience que ce n'est plus son coeur qui
lui appartient, mais lui qui appartient à son coeur.
L'égarement est plus profond après une telle constatation.
Alors, à ce moment, sa vie devient illogique, anormale, sans plus de sens.
Il cherchera donc à combler ce coeur qui appelle - Ce coeur qui menace de s'éteindre - Ce coeur qui fuit sans se retourner -
Ce coeur qui cherche cet amour illégal et dangereux - Cet être va brûler des étapes jamais imaginées.
Il combattra le monde, la vie, pour satisfaire son coeur qui saigne, qui hurle - Il deviendra esclave de son coeur,
par amour, pour l'amour.
Le feu intérieur brûlera de flammes connues en flammes inconnues, presque intarissablement.
Les cris du coeur insupportables, les crépitements de ce feu résonneront minute après minute, heure après heure,
jour après jour, nuit après nuit.
Le sommeil en deviendra absent car un coeur qui appelle ne dort pas, ne dormira plus, imposant à la vie un rythme d'une
cadence impossible, infernale, insoutenable.
La violence de la douleur sera de plus en plus présente, à tel point qu'elle deviendra,à force de temps, une habitude involontaire.
Cet être ne peut pas abandonner l'amour qui le tourmente, c'est trop tard, car s'il le faisait, son coeur s'éteindrait,
plus une étincelle ne survivrait, jusqu'à l'envahissement d'un froid glacial - Le froid de la mort.
Et à ce stade précis, ce coeur et cet être mettraient, sans l'ombre d'un doute, fin à leur vie qui les aura quittée bien
avant qu'ils ne s'en rendent compte.
En silence, sans plus de cris, sans plus de bruit, ils feraient leurs adieux au monde, aux autres vies, celles qu'ils ont aimé.
Sans aucun autre regret que celui de n'avoir pas pu, ni su sauver leur amour.





Errance


Seul, sur une immense plage,
Il traîne sa peine, il vagabonde.
Alors que la tempête fait rage,
Tant de vagues abondent.

Déchiré, tout son cœur saigne,
lové, transit, il suit le chemin,
Qui le mène à une paix sereine.
L’errance est devenue son destin.

Et malgré la beauté de la mer,
Son esprit ne peut pas résister,
A la pensée qui le perd,
Et à l’espoir qui l’a quitté



B.B.O.


Son âme a emporté avec son cœur,
Les plus belles fleurs d’été, leurs douces couleurs.

Mais elle m’a laissé en cadeau éternel,
Le bonheur et la joie de savoir aimer, comme elle.

Elle manque à ma vie plus que je ne le dis,
Elle inonde malgré tout mon cœur à l’infini.

Elle a marqué mon âme d’une emprunte fidèle,
Qui malgré le temps qui passe est toujours réelle.

Je l’ai aimé à m’en brûler le cœur,
Je l’aime encore malgré toutes mes peurs.

Je l’aimerais toujours avec autant d’ardeur.
Rien ne fera disparaître cet amour, ma douceur.

Il me fait espérer en une vie meilleure.
Pour que moi aussi je vive le même bonheur.

Elle est le plus bel être que la terre ait porté.
Dans mon cœur elle s’appelle : ETERNITE.



Monsieur


Votre cœur est un oiseau rare
Qui vole au gré de ses humeurs.
Le mien est une hirondelle
Qui migre au son de ses douleurs.

Il n’y a plus d’amour dans l’amour
Et le bonheur fait le fuyeur.
La réalité n’est que l’illusion d’un rêve.
La vie n’est qu’une utopie qui se meurt.

Le soleil réchauffe des cœurs à demi fatigués
Qui vivent dans un rêve qui perd ses ardeurs.
Je hais tout de la vie autant que je l’aime,
C’est pourquoi mes yeux sont souvent en pleurs.

Je réponds aujourd’hui aux hommes sans frontière
Qui tentent de m’entourer de leurs jolies chimères.
Ne provoquez pas mon corps et mon cœur
A répondre à vos tendres ardeurs.

L’amour n’a qu’une couleur.
J’ai perdu son sens et sa chaleur.
Je ne veux pas être votre malheur,
Même si je sais me faire douceur.

Vous méritez un amour vrai et sincère
Avec tout ce qu’il y a du mystère.





Soleil

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Dernière mise à jour : Vendredi 29 Octobre 2010


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