Mes poèmes (suite)

Accueil Mes poèmes Mes poèmes (suite) Poupée cassée Mes extraits Mes extraits (suite) Interviews d'auteurs Auteurs préférés Marie Barrillon Liens favoris Vous m'avez écrit Biographie de Marie Barrillon Mes chroniques Contactez-moi
Site réalisé par Marie Barrillon



Menu

Accueil


Mes poèmes


Mes poèmes (suite)


Poupée cassée


Mes extraits


Mes extraits (suite)


Interviews d'auteurs


Auteurs préférés


Marie Barrillon


Liens favoris


Vous m'avez écrit


Biographie de Marie Barrillon


Mes chroniques


Me contacter









Eclosion












Weborama mesure d'audience et statistiques








Naissance d'une rose














Oiseau














Papillon














Un ange passe...
         

Paroles d'inconnus.


Un petit mot en passant pour vous dire...
Mais, que vous dire ?
Que vous dire d'autre qui n'est pas déjà été dit ?
Sinon les secrets de mon esprit.
Que dire d'autre à un jeune homme que l'on connaît si peu ?
Du moins pas assez !


Que dire d'autre à cette voix si... troublante ?
Cette voix sans visage, sans repère, sinon sa douceur.
Cette voix dont on lui octroie facilement un visage qui,
C'est certain, ne lui ressemble pas.
Cette voix aux mots qui touchent mon coeur.
En fait, je ne sais pas.


Je pourrais parler de la pluie et du beau temps,
Mais cela ne m'intéresse pas vraiment et vous non plus, je pense.
Je pourrais vous parler de moi... encore.
Vous en savez déjà beaucoup et cependant si peu.
Mais, bien assez en tout cas.
Bien assez dans l'immédiat.

Je pourrais vous dire mes peines et mes colères,
mais vous n'en auriez que faire,
je veux bien le croire.
Je pourrais vous dire mes souhaits et mes espoirs,
mais qui n'a pas d'espoir.
J'aimerais bien voir.
Je pourrais parler pour ne rien dire,
mais je n'aime pas cela.
Pourtant, c'est ce que je suis en train de faire.

Et puis au fond, pourquoi devrais-je vous dire ?
Moi qui ne sais rien de vous.
Vous ne parlez pas, sinon pour ne rien dire !

Alors monsieur,

pourquoi continuer à s'attarder sur une conversation
sans logique, sans intérêt et sans issue aucune ?

Arrêtons ici de perdre notre temps pour ne rien dire,
nous avons certes, bien d'autres choses à faire de plus constructif.

Je vous dis au revoir, monsieur et au plaisir pour une discussion
qui vaudra la peine que le temps continu sa course sans nous.



Petit homme.


Tu es le roi de mon cœur,
En silence tu caches tes peurs,
Je les soulage tout en douceur
Pour te redonner tant de bonheur.

Quand tes grands yeux s’ouvrent au matin
Je les vois qui déjà pétillent, si malins.
Tes bras s’ouvrent vers moi sans fin,
A la recherche de tendres câlins.

En silence à la rencontre de tes rêves,
Tu t’endors dans un sommeil sans trêve.
Tes angoisses nocturnes sont très brèves
Et sont évincées aussitôt par de beaux rêves.

Mon petit gars au visage angélique,
Quand ton sourire se dessine mystique,
Tout, autour de moi devient magique.
Et rien n’est plus jamais tragique.

Mon petit homme de tous les instants,
Ta vie m’apporte des sentiments violents,
D’amour, de passion, de tourments,
Mais toujours des moments ardents.

Et quand le soleil s’en sera allé,
Que la lune viendra éclairer
Ce monde immense où tu es né,
Je serais là pour d’amour te bercer.



L'enchanteur de Mai.


Le voilà revenu notre enchanteur et avec lui, le sourire du monde, la joie des gens,
la gentillesse du peuple, la sympathie et la vitalité de tout à chacun.

Le voilà revenu pour nous redonner le plaisir, les plaisirs des promenades chaudes,
autant par l'atmosphère que dans nos coeurs.

Les plaisirs des farnientes étendus sur une herbe folle, le long d'un cours d'eau,
d'une rivière, d'un canal ou plus simplement dans une prairie ou un jardin.

Le voilà revenu et rien qu'à cela le monde change, l'éclat du bonheur revit dans
les yeux de tous. Les sourires égaient toutes les lèvres.
La joie de vivre se lit sur tous les visages.

Tous les tristes masques assombris par l'hiver et la grisaille tombent un à un.
Hélas, personne ne semble le constater.
Le voilà revenu et par son retour, toute agressivité s'est enfuit avec les pluies
d'hier, celles de l'hiver faisant place au bon air.

Les tristesses se dissipent, vaincues par l'enchanteur de Mai.

Les oiseaux eux-mêmes chantent de nouveau, après une longue absence.
Ils chantent partout sur la terre et dans les airs, et de part leurs douces mélodies,
nous ressentons la beauté de la vie, le désir de liberté qui nous envahit.

Oubliant le passé, ignorant le futur pour cet instant magique
et peut-être même fragile.
Le voilà revenu et avec lui, le feuillage des arbres d'un vert encore tendre
et clair qui s'enivre de soleil pour mieux s'épanouir et se colorer.

Le bonheur, la joie, l'amour sont présents. C'est la vie, la vie vraie, la vie juste,
la vie pleine, la vie de beauté. Celle qui est la plus agréable et bien la plus douce.

Le voilà revenu et avec lui, la douce fête des mamans nous revient
plus belle chaque fois.
Et pour nous qui sommes réunis aujourd'hui, nous n'avons besoin de rien
d'autre pour enchanter nos coeurs.

Nous sommes unis à jamais et l'enchanteur de Mai ne fait qu'éclairer
un peu plus l'amour que nous possédons déjà.
Il ne fait qu'amplifier la joie de nous retrouver, le bonheur de nous aimer...
encore et toujours plus fort.


Tigre tranquille

Vies séparées.

Dans le silence et la pénombre,
Quelque part perdue dans notre monde,
Mon âme tranquille sort de sa tombe.
Mon coeur est un poète dans l'ombre
Qui ne peut s'empêcher de rimer, d'aimer
Sans jamais, oh ! non jamais rien demander.
Pourtant, il a tant de souhaits inexaucés,
De désirs cachés, d'espoirs sacrés, de vérités.

Que le temps est précieux dans sa réalité.
Que l'amour existe même s'il n'est pas fait.
Quand il est spirituel, il est tout aussi gai.
Même imparfait, l'amour est toujours vrai.

Ton coeur d'amour est en vacances
Et le mien se demande bien si...
Tu rêves d'amour et d'espérance
Au plus profond de ton esprit.
Ma vie vers toi est en partance,
Car mon coeur est tellement gris.
L'incertitude me chagrine aussi,
Lorsque tu pars si loin d'ici.

Mais que peux-tu bien faire si loin.
J'ai tant besoin de ton coeur ici.
Sans toi je ne suis presque plus rien,
Sans toi, je crois que j'ai perdu ma vie.

Notre amour est à l'automne
Depuis que nos vies sont séparées.
J'ai souhaité parcourir toute la somme
Pour effacer cet écart déraisonné.
Finalement, avec un crayon, une gomme
J'ai pleuré mes sentiments sur le papier.
Mais les larmes si chaudes que j'ai versé
Ont effacé, sans pitié les mots que j'ai notés.

Reviens vite consoler mes pleurs,
Au secret de la chaleur de ton coeur.
Reviens vite faire de moi ton bonheur,
Sans cri, ni tristesse, en douceur.

Je t'appelle dans un silence de mort
Qui s'empare de ma vie sans remords.
Je prononce ton nom sans effort
Même si je sais en secret que j'ai tort.
J'ai besoin de ta vie dans ma vie,
Même si ce n'est pas dans l'infini.
J'ai besoin de toi aujourd'hui,
Même si je sais que demain ce sera fini.

Que le temps est précieux dans sa réalité.
Que l'amour existe même s'il n'est pas fait.
Quand il est spirituel, il est tout aussi gai.
Même imparfait, l'amour est toujours vrai.




RetourRetour poèmes précédents

Dernière mise à jour : Vendredi 29 Octobre 2010


Accueil - Mes poèmes - Mes poèmes (suite) - Poupée cassée - Mes extraits - Mes extraits (suite) - Interviews d'auteurs - Auteurs préférés - Marie Barrillon - Liens favoris -
Vous m'avez écrit - Biographie de Marie Barrillon - Mes chroniques - Contactez-moi

Site de Marie BARRILLON